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Compagnie Tsanfleuron

Le nom de la compagnie évoque un glacier haut perché, niché dans les Alpes vaudoises suisses. En patois, cela signifie « champ fleuri », et rappelle qu’après le froid et la glace, peu importe la durée, la chaleur et la vie reprennent et tout recommence.

La compagnie Tsanfleuron vise à développer des créations artistiques qui portent à l’espoir, non sans audace, ni piquant, en vivant chaque création comme une aventure humaine. Rencontrant ainsi des spécialistes pour parfaire leurs techniques, des embûches non sans humour, Lydia et Delphine n’hésitent pas à se mouiller et se rendre au plus proche des thématiques qui leur saisissent le ventre.

A l’image de ce champ, nous nous souhaitons de créer un bouquet de fleurs précieuses sauvages, de nous rappeler à ces cycles naturels éternels ainsi qu’à la continuité apaisante, libre et héroïque du vivant. Le champ devient la scène, on troque les lunettes de glacier pour un costume et on tente de condenser cette beauté en une gemme théâtrale. Nous souhaitons qu’à l’issue de l’une de nos représentations le spectateur reparte repu, rafraîchi et inspiré tel qu’après un pic-nic au sommet de Tsanfleuron.

Productions Tsanfleuron

motifs bas

Agenda

Derborence prochaines dates

28.04.24 Galerie Le Pressoir, Ecublens

 

 

Derborence dates passees

06.05.23 Genève, Bibliothèque de Vernier-Village

22.10.22 Salle Ennéa – Corseaux

5-6.11.22 Café théâtre de la voirie – Pully

17.9.22 Chapiteau Berbère 21 – Daillens

27.8.22 Café Littéraire – Bienne

1.7.22 Tour Vagabonde  – Fribourg

5.3.22 Théâtre des Trois P’tits Tours – Morges

13.3.22 Maison de Commune – Préverenges

23.10.21 La grange du Bougnon – Rossinière

26 – 27.9.20 Grange du Chapallaz – Denens

19.9.20 Fête de la Coquille, théâtre de l’ABC – La Chaux-de-Fonds

17, 18, 19 et 23, 24, 25.7.20 Auberge du Lac – Derborence

3.7.19 Cratoule – Issirac Les Musarts

11.3.19 Maison de l’Amitié – Minsk

Presse

Delphine Ayrton

Delphine Ayrton prête une attention méticuleuse au soin des mots. Tant en anglais, qu’en français, elle s’amuse à lier un langage châtié, puis moderne à la fois. Elle réalise des études en philosophie et histoire de l’art, saisissant chaque opportunité pour filer à l’étranger. Après avoir assisté une rédactrice en chef à la réalisation d’un magazine culturel pour l’agence Prisma Media à Paris, elle se tourne vers le théâtre, qui semble pouvoir réunir ses multiples points d’intérêts, la langue, le corps, les aventures, l’esthétique. Ainsi, elle part étudier en Biélorussie, suivre un enseignement dit de tradition théâtrale russe. A son retour en Suisse, elle reprend des études et termine actuellement un master en Arts Socialement Engagés à la Haute Ecole d’Art et de Design. Au fil de ce cursus, elle a co-fondé le collectif dandelion qui propose des balades sensitives pour enfants et adultes, notamment sur la Robert Walser Sculpture à Bienne. Elle compose la musique et joue dans un spectacle pour enfants qui a pour thème le courage. Désormais, elle s’essaie à la radio avec le projet de la Vague à Genève, elle enseigne l’anglais à l’école Steiner, co-gère avec sa famille un centre de musique de chambre au sud de la France (Cratoule) et ne rate pas une occasion pour s’engager dans une aventure théâtrale.

Lydia Weyrich

Lydia Weyrich a grandi au bord du merveilleux lac Léman.  Après des études d’anthropologie entre Lausanne (UNIL) et Montréal (UQAM), pendant lesquelles elle pratique le mime d’Etienne Decroux, la danse et la marionnette, Lydia se forme au TPR de La-Chaux-de-Fonds, aux Teintureries à Lausanne puis, pendant deux ans avec les professeurs de l’Académie des Art de Minsk, au Théâtre Républicain de la Dramaturgie Biélorusse (RTBD) au sein du programme Demain le Printemps.

Après la fin de ses études en 2018, elle a joué dans un spectacle sur des nouvelles d’Anton Tchekhov (2018), mis en scène par Serguei Tarasuk et dans La Maison de Bernarda Alba (2019) mis en scène par Alexandre Païta.

Aujourd’hui, son goût prononcé pour l’indépendance et sa passion pour la littérature et la poésie dites classiques, romantiques, champêtres ou épiques, la mène à créer, au sein des compagnies Tsanfleuron et La Renaissance, des spectacles poétiques et musicaux autour d’œuvres d’auteurs qu’elle admire.